PLUS JAMAIS SANS L'EGLISE
Freddy de Coster
- Référence MANNA9000
- EAN 9782352860006
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Editeur
Manna Diffusion
Description
PLUS JAMAIS SANS L’EGLISE
Freddy De Coster
Editions Manna
L’auteur, tant suite à des expériences personnelles, que des constats faits dans son ministère, montre l’importance, pour le croyant chrétien, d’être membre d’une église locale. Qu’il accepte l’autorité de celle-ci et, partant, celle de ses leaders. Toutefois, il ne dresse pas un portrait idéaliste de l’église, mais montre quels sont les pièges à éviter et notamment les dérives qui peuvent survenir, compte tenu de la manière d’être et d’agir de certains de ses membres (abus de la grâce, viols spirituels, etc.) Le lecteur sera peut-être surpris de l’utilisation faite par l’auteur du récit de l’ivresse de Noé et de l’attitude à cet égard de ses fils (dans le chapitre : « Marcher sur les empreintes de nos prédécesseurs… et non pas sur leurs pieds :"p.85 et ss). Il en sera de même pour l’épisode du viol de Tamar par son frère Amnon (chapitre : « L’oeuvre des violeurs spirituels"). Une certaine crudité de langage pourrait choquer le lecteur. L’église préconisée est une église très structurée et hiérarchisée).
Détails du produit
- Langue
- Français
Avis du libraire
Plusieurs points abordés par l’auteur sont édifiants. Il montre par exemple que l’Eglise devrait être le miroir des valeurs bibliques (p.43), que les épreuves sont indispensables (p. 218, 228, 238) et que les plus grandes qualités non sanctifiées du chrétien deviennent ses plus grands défauts (p.227). Il donne également de bons conseils quant aux fréquentations (p.190-192). Par contre, on constate dans cet ouvrage une tendance pentecôtisante prononcée, pages 18, 86, 94, 160, 194, 220, 257, 267. Certains passages et allégations sont plutôt étranges, voire non conformes à la pensée biblique, pages 21-23, 58, 67, 71, 96, 99, 101, 114, 151, 186. L’auteur parle souvent positivement de la recherche du « moi », pages 13, 74, 90, 93, 137 et il utilise régulièrement un vocabulaire châtié, pages 34-43, 45, 54 etc. On a également l’impression qu’il a une haute estime de lui-même, pages 117, 158, 172. A relever encore un grand nombre de citations d’auteurs, dont Maître Ekkard, qui est un personnage plutôt occulte et plusieurs passages ou mots profanes et cyniques, pages 86, 111-113, 120-123, 150, 159, 170, 171, 250-251 etc.