MIRACLES DE NOTRE SEIGNEUR

Dans une étude préliminaire l’auteur décrit ce que sont les miracles. Il les définit comme des prodiges, des gages, des signes de réalités supérieures qui sont souvent comme des lettres de crédit données à celui qui les accomplit. Les miracles du Seigneur devaient légitimer l’Envoyé de Dieu. Les oeuvres merveilleuses de Dieu dépassent la Nature mais ne lui sont pas contraires : elles nous rappellent qu’au-dessus des causes et de leurs effets, il y a un Olivier divin. A côté de ces oeuvres il y en a qui en sont des caricatures : elles viennent de Satan, ce sont des prodiges mensongers ; le croyant peut les distinguer par la foi. En comparant les miracles de l’A. T. et du N. T. nous voyons que ceux du Christ sont plus considérables et plus glorieux : ce sont les miracles d’amour ! Les dons miraculeux n’ont pas été accordés à l’Eglise d’une façon permanente mais furent utiles au moment de sa fondation. (Sur quel versent biblique peut-on se baser pour faire une telle déclaration ? réflexion personnelle J-P.) L’auteur montre ensuite ceux qui s’attaquèrent aux miracles de Jésus : les Juifs, les païens, les Panthéïstes, les Sceptiques, les Rationalistes, l’école historico-critique. Ces miracles produisirent sur ceux qui en furent les témoins des effets bien divins, mais pour nous, ils ont une grande valeur, car notre Sauveur s’est manifesté non seulement par des paroles, mais aussi par des actes. Suit une analyse de 33 miracles du Seigneur.