Marcher vers sa destinée

Dans son livre précédent « Il y avait deux arbres dans le jardin", Rick Joyner prenait, pour toile de fond, les premiers chapitres de la Genèse. Dans celui-ci, il compare la marche du chrétien avec la traversée du Sinaï par les Israëlites. Par exemple :

• Le passage de la Mer Rouge : c’est l’abandon de notre vie et de nos intérêts pour suivre le Seigneur et mourir quant au monde (quel mal pourrait-Il nous faire ?), mourir à nos peurs, à tout asservissement.
• Moïse a conduit les Israëlites au désert pour qu’ils soient transformés et échangent leur superficialité contre une foi solide.
• La terre promise devait découler de lait et de miel. Pourtant, au premier endroit où le peuple arriva, il n’y avait pas d’eau : avant l’accomplissement d’une promesse, il faut une zone aride éprouvant la foi (ex. de Joseph, Moïse, David, Paul. etc.)
• L’épreuve du désert est une bénédiction : l’emprise du monde, de la chair, sur nous, se relâche et le Seigneur peut prendre le gouvernail de notre vie.
• Dieu voulait au départ faire traverser aux Israëlites ce désert en peu de temps : Son intention n’est pas de nous laisser dans l’épreuve plus longtemps qu’il n’est nécessaire.
• La foi est le plus court chemin pour l’accomplissement des promesses, le manque de foi fait tourner indéfiniment dans le désert.
• La terre promise devait être conquise. Après le désert, ce furent les guerres.
• Si beaucoup de nouveaux convertis abandonnent, c’est qu’on s’en bien gardé de les avertir qu’il faut traverser le désert avant de jouir du Pays Promis.